Publié le : 15/03/2015 17:30:37
Catégories : L'anti-âge , La beauté , Les actifs , Votre peau
Parmi les produits présents sur www.ibeaute.net, nous avons présenté les phyto-cosméceutiques Rosactive.
Mais derrière ce nom qui peut paraitre barbare, qu’est-ce qui se cache ? Le bien-être et l’esthétique ont toujours été important pour le consommateur en quête de nouveauté et de résultat. Avec l’apparition de la médecine esthétique et le développement des avancées bio-technologiques, la cosmétologie à du évoluer. Ce n’est plus uniquement l’apparence, mais une attente scientifique du consommateur.
Traitement du vieillissement prématuré, sénescence cutanée, rides superficielles et profondes, imperfections cutanée, tonicité, élasticité… autant de problématiques nouvelles. La frontière entre les cosmétiques et un médicament se resserre de plus en plus. En apportant une réponse biologique, les cosméceutiques se placent à la pointe de l’innovation cosmétique, avec néanmoins le développement d’effets secondaires et contre-indications.
La formulation (et la galénique) de ces produits est donc d’une importance fondamentale car les constituants contribuent à l’efficacité tout comme au risque.
La définition du produit cosmétique est commune à l’ensemble des Etats membres de l’Union européenne (Article 2 du règlement cosmétique). Elle est retranscrite, en France, dans le code de la santé publique (article L.5131-1).
"Un produit cosmétique est une « substance ou un mélange destiné à être mis en contact avec les parties superficielles du corps humain (l’épiderme, les systèmes pileux et capillaire, les ongles, les lèvres et les organes génitaux externes) ou avec les dents et les muqueuses buccales, en vue, exclusivement ou principalement, de les nettoyer, de les parfumer, d’en modifier l’aspect, de les protéger, de les maintenir en bon état ou de corriger les odeurs corporelles".
Parmi les produits cosmétiques peuvent figurer (liste non exhaustive) :
Les bienfaits procurés par les cosméceutiques ont créés un nouveau segment parallèle aux cosmétiques. Nous sommes aujourd’hui dans une ère ou le dernier mantra à la mode est « la beauté intérieure et extérieure » et les phytoceutiques Rosactive sont la réponse à cette demande.
Ne sont pas des produits cosmétiques (liste non exhaustive) :
La réglementation applicable aux produits cosmétiques est définie par le règlement (CE) n°1223/2009 du Parlement européen et du Conseil du 30 novembre 2009 relatif aux produits cosmétiques, consultable sur le site EUR-Lex.
En France, elle est accessible dans le code de la santé publique et consultable sur le site de Légifrance (articles L. 5131-1 à 8 ; R. 5131-1 et suivants). Source Direction générale de la santé Sous-direction de la politique des produits de santé et de la qualité des pratiques et des soins Bureau des dispositifs médicaux et des autres produits de santé 14, avenue Duquesne 75007 Paris Le cosmétique permet donc une action réelle sur un défaut esthétique.
En aucun cas, un cosmétique ne prétendra prévenir, soigner ou soulager des maladies ou symptômes.
La définition du médicament est commune à l’ensemble des pays de l’Union européenne, elle est donc essentielle car elle détermine une grande partie des règles qui s’appliquent au médicament en Europe, en particulier l’Autorisation de mise sur le marché (AMM) des spécialités pharmaceutiques.
La définition est la suivante : « toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des maladies humaines ou animales, ainsi que toute substance ou composition pouvant être utilisée chez l’homme ou chez l’animal ou pouvant leur être administrée, en vue d’établir un diagnostic médical ou de restaurer, corriger ou modifier leurs fonctions physiologiques en exerçant une action pharmacologique, immunologique ou métabolique. » Le médicament obéit à une réglementation contraignante et s’inscrit dans un circuit de fabrication et de mise à disposition des professionnels et des patients très encadré et strictement surveillé.
Le médicament contient :
Au début des années 1990, deux scientiques, Veermer et Lavrijsen suggèrent que les produits utilisés pour des indications cosmétiques et qui ont une activité pharmaceutique significative ou des effets secondaires potentiels soient soumis à une législation spécifique. Ils proposent de nommer cette catégorie les cosméceutiques. Le professeur américain, A. Kligman propose deux branches :