Un point sur la légalisation de la lumière pulsée

Publié le : 12/07/2016 11:08:16
Catégories : L'épilation , La beauté


OÙ EN SOMMES-NOUS AVEC LA LUMIÈRE PULSÉE ?

DROIT? PAS DROIT?

La lumière pulsée est une pratique très innovante pour le métier esthétique, toutes les artisanes ont besoin d’un booste du chiffre d’affaire dans une période ou la conjoncture est dans une impasse. La motivation des esthéticiennes pour se former dans un encadrement très strict. En sachant que notre métier est en éternel évolution de stages formations, surtout très encadrés par nos diplômes en constante progression. Nous demandons l’accord de cette pratique.

Les dermatologues déconseillent au ministère de la santé, que le métier de l’esthétique mette dans leurs prestations cette technique. Des pourparlers sont négociés par la CNAIB, L'UNIB et la CNEP et les dermatos, et surtout le ministère de la santé. En sachant que notre profession est prise d’assaut par toutes les professions:



legislation lumiere pulsee ipl

  • 1) Les coiffeurs épilent les sourcils, maquillent sans que ce soit leurs droits.
  • 2) Les kinés proposent des soins amincissements
  • 3) Les dermatologues proposent des soins lumière pulsée
  • 4) Les praticiens bien être pratiquent des massages ce qui devrait rester aux esthéticiennes.

Beaucoup de jeunes, se forment dans des écoles payantes fort couteuses et ne sont jamais sure de trouver un emploi. C’est pour cela que notre profession demande la légalisation des nouvelles technologies, et bien entendu un pas vers le futur la lumière pulsée.


Nous devons mettre une fin à cette dévalorisation de notre métier (FIN D’EPILATION A LA PINCE ET A LA CIRE) en nous laissant le choix de mettre en place dans nos cartes de soins (LA LUMIERE PULSEE)


METTRE UN FREIN À NOTRE ÉVOLUTION C’EST METTRE UN FREIN À NOS INSTITUT DE BEAUTÉ.



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epiliation définitive


01/03/2018 12:33:03

Epilation définitive : franchisés et instituts devant le tribunal correctionnel de Paris Plusieurs enseignes de franchise et des instituts indépendants comparaissaient mardi devant le tribunal correctionnel de Paris. Ils étaient poursuivis pour exercice illégal de la médecine par le Dr Dominique Debray et trois syndicats. Les temps changent. Visiblement, l’épilation semble aujourd’hui passionner médecins, journalistes et grand public ! Mardi, le timing médiatique était parfaitement orchestré, à la manière d’un grand procès. Télés, presse écrite… Dès le lendemain, l’information était en Une de la newsletter du Quotidien des médecins. Même l’Agence France-Presse avait fait le déplacement pour assister à cette première audience, au tribunal correctionnel de Paris. Du coup, sa dépêche a été reprise par tous les journaux. Des esthéticiennes avaient-elles brûlé vives des clientes avec une lampe flash ? Pas sûr, mais l’arrêté du 6 janvier 1962, encore une fois, se trouvait au cœur des plaidoiries. «Fournir les moyens de commettre une infraction, c’est se rendre coupable», a asséné Me Alexandre Varaut, qui défendait déjà, il y a quatre ans, le groupe Guinot contre les fabricants et les distributeurs d’appareils d’épilation à lumière pulsée. Face à lui, six enseignes de franchise et six instituts de beauté, qui pratiquent l’épilation à la lumière pulsée. Trois syndicats et un médecin esthétique A l’origine de la plainte, déposée en 2014, la Saerl du médecin esthétique Dominique Debray (Clinique Laser Marceau), deux syndicats, dont il est lui-même le représentant – le Syndicat de médecine morpho-esthétique et anti-âge (SYMEA) et le Syndicat national des centres de laser en dermatologie (SNCLD) -, ainsi qu’une troisième organisation professionnelle, le Syndicat des manipulatrices d’épilation laser (SYMEL). Que fera-t-on «lorsqu’on aura un œil ou un sexe brûlé», s’est interrogé l’avocat des plaignants, rappelant que les esthéticiennes devaient se cantonner à la pince ou à la cire pour épiler, conformément au texte de 1962. «Les médecins ne pratiquent pas l’épilation à la lumière pulsée mais au laser», a répondu la défense, représentée par plusieurs avocats. Ces derniers ont estimé qu’il ne s’agissait pas ici de «défendre la santé publique, mais un intérêt économique», voire «un monopole», rapporte l’AFP. Délibéré renvoyé au 15 mars Le Dr Dominique Debray, président du très discret Syndicat national des centres de laser en dermatologie, n’a jamais caché, il est vrai, sa position sur le sujet : la délégation à des professionnels, sous le contrôle d’un médecin. «Des opératrices qui répètent ces actes tous les jours sont plus efficaces que des médecins qui les pratiquent peu, et les feront payer beaucoup cher (avec l’augmentation de la TVA, le prix augmenterait de 60 % pour le patient). En outre il n’y a pas besoin de neuf ans d’études pour épiler au laser», expliquait-il en 2013, cité par le journaliste Jean-Yves Nau sur son blog. La présidente du Syndicat des manipulatrices d’épilation laser, Colette Boudet, ne dit pas autre chose sur le site de son association (http://symel.eu/le-mot-de-la-presidente/) : «Moi, votre présidente, j’ai déjà travaillé dans plusieurs centres de médecine esthétique et lasers médicaux. Je n’ai ni bac, ni BTS. Je sais que j’aurai à travailler dur pour faire reconnaître notre métier. Puis pour me mettre à niveau et faire valider mes acquis. Mais j’aime mon métier, que je pratique depuis le 5 janvier 2007, et je veux comme vous qu’il soit reconnu pour le bénéfice de nos patients, pour la sécurité de mon emploi et pour l’intérêt de mon travail.» Le tribunal devrait rendre son délibéré le 15 mars, à 13h30.

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